Concours d'Ecriture
Article et bannière de Mara-anni
A l’occasion de la semaine du mercenariat VI, les mercenaires ont proposé aux aventuriers un grand concours d’écriture sur le thème d’Halouine. Les aventuriers emballés, ont donc pris leurs plumes afin de participer à cette animation au plus vite. Chacun voulant remporter le premier prix et voir diffuser sa création au grand public.
Cessons de parler et présentons les grands gagnants du concours et leurs nouvelles :
Premier : Mordust
Halouine et ses méfaits
La famille Domus vivait dans le sud de la ville d’Amakna, elle vivait principalement grâce à la chasse. La forêt des abraknydes était leur meilleure garantie de ne jamais rentrer les mains vides si on savait éviter les hordes d’abraknydes qui la peuplent. Des années auparavant, la mère avait succombé en mettant bas à une charmante petite fille du nom de Soha.
Le père la détestait et estimait très grandement son fils ainé, Bardius, qui pouvait l’épauler dans le maintient du foyer.
C’est ainsi que vivait cette humble famille, jusqu’au jour d’Halouine.
Jour qui porte le nom d’un homme qui aurait eu la folie de se laisser aller à la magie bwork afin de faire pousser ses citwouilles.
Mais cela n’est qu’une légende tout juste bonne à effrayer les enfants !
Toujours est il que c’est la veille de ce jour que le père disparu dans la forêt sans laisser de traces ni de nourriture pour sa progéniture…
Bardius parle peu mais agit vite quand il juge cela nécessaire, aussi décida t’il de partir à la recherche de son père. Il prit un arc, des flèches et une gourde puis s’élança dehors vers l’obscure forêt, suivit en cachette par sa petite sœur Soha, qui malgré son jeune âge était déjà bien vive d’esprit.
Sans doute désirait elle gagner l’amour de son père en aidant son frère et qui sait se faire pardonner du mal qu’elle avait fait sans le vouloir à sa mère ?
Le frère savait pister grâce à l’enseignement de son père mais ne connaissait pas la forêt des abraknydes comme son père. C’est alors qu’à force de regarder le sol à la recherche de traces, il finit par se perdre et du se résoudre à appeler son père à haute voix.
La nuit commençait à tomber et les abraknydes immobiles observaient sans bouger cet humain suivant les traces de son père. Sans doute vers une fin tout aussi terrible que ce dernier ! Soha, continuait de suivre sans bruits.
On entendit minuit sonner au loin, la cloche sonna tel un compte à rebours, 12 coups, le cœur de Bartius battait lui aussi sur ce rythme. La lune commença à disparaître derrière d’épais nuages…
Malgré son courage la peur l’envahissait comme si le drapé noir du ciel venait l’envelopper et l’étouffer.
Au dernier coup, la forêt regagna son silence mais une lumière rouge et incandescente se mit à briller avec éclat droit devant le frère.
« Père, c’est vous ?! » s’inquiéta Bartius.
Pour seule réponse, une seconde lumière s’alluma, puis des bruits de pas se finir entendre…
La silhouette de la créature commença à se dévoiler, il s’agissait d’un Meulou comme rongé par une maladie, sa tête était comme dévorée et possédée par une sorte de citwouille aux yeux incandescents.
Le Meulou demanda :
« -Vous êtes ici pour jouer au jeu d’Halouine ?
-Non, je suis venu chercher mon père !
-Pourtant lui a voulu jouer et si vous souhaitez le rejoindre il vous faudra accepter…
-J’accepte, menez moi à lui !
-Les règles sont simples, si je vous attrape, vous perdez, chose que je vous souhaite, je suis affamé… Ou alors…
-Ou Alors ?!
-Ben c’est tout en fait ! »
D’abord surprit, Bartius se reprit et tira rapidement deux flèches mais cela ne ralentit pas la marche du Meulou, il s’est donc enfuit aussi vite qu’il pu… Mais le Meulou affamé et envoûté par la malédiction d’Halouine le rattrapait inexorablement…
Sous les yeux horrifiés de Soha encore cachée, son frère fut englouti dans la large gueule pleine de crocs, la créature hurla en levant sa tête face au ciel et la lune repris de son éclat comme par enchantement.
Maintenant seule, Soha tremblait comme une feuille au vent, c’est avec peur et tristesse qu’elle décida de suivre l’abominable créature.
Mais elle était loin de se douter de ce que la créature lui réservait.
Le Meulou se savait déjà observé mais préférait lui réserver un tout autre sort…
La marche se poursuivit toujours plus profondément dans la forêt jusqu’à une bâtisse, elle reconnue la mythique maison d’Halouine, illuminée de plusieurs éclats étranges, diverses vapeurs s’en échappaient… Vapeurs enivrantes et assommantes qui ne tardèrent pas à faire tomber Soha dans un profond sommeil.
A son réveil, elle était dans la maison, quelqu’un l’avait transporté jusque là. Liée aux mains et aux pieds, elle ne pouvait pas bouger. C’est ainsi qu’elle vit son père entrer dans la pièce transportant le cadavre d’un vieil homme qui semblait avoir souffert de diverses expériences bworks malsaines…
Soha était sauvée, son père avait tué le psychopathe ayant donné naissance aux horreurs qui ont hanté toute son enfance et tué son frère. Elle ne savait comment exprimer sa joie ni comment annoncer la mort de Bratius. Partagée entre soulagement et douleur, elle resta donc silencieuse.
Mais quelque chose clochait, une vieille femme fit irruption dans la pièce, regarda la jeune fille et s’approcha d’elle en la regardant avec ses yeux globuleux et luisant. Soha cria, hurla, appela à l’aide et pour toute réponse reçu une claque de son père.
« -Petite sotte, tais toi !
-Mais père… ?
-Ahahah… Ton père n’est plus, je me faisais vieux et mourant, il me fallait un nouveau corps pour continuer à vivre, celui-ci fera parfaitement l’affaire, je me nomme Halouine ! »
Soha ne pu retenir ses larmes.
« -Bon à présent, c’est à mon tour, elle est certes un peu jeune mais je ne peux plus attendre !
-Bien sûr ma bien aimée, où avais-je la tête ! »
Soha s’évanouit…
Elle se réveilla beaucoup plus tard au village d’Amakna, il faisait jour, le soleil brillait et chauffait agréablement le village, les pious chantonnaient gaiement, elle avait mal partout et se sentait fiévreuse.
« Ce n’était qu’un cauchemar ! » s’écria Soha en se levant de son lit.
Mais en passant face au miroir de la maison, elle vit le reflet d’une vieille femme hideuse…
Second : Magnum-Urgal
Hum... non, non, il n'y a aucun retard, c'est votre montre!
Bon, disons que j'ai cru que la date limite était le 26 et que voila...
Mais je ne voulais pas que mon modeste travail soit detruit par une etourderie de ce genre, aussi j'ai eu le culot de vous l'envoyer avec 20 heures de retard en espérant que vous fermerez un oeil là dessus, lecteurs dont j'ignore les noms.
Minuit sonna.
Les portes de la Grande Salle s'ouvrirent tandis que le maire de notre petit village d'Helsenva souhaitait la bienvenue à ceux qui étaient venus.
Cette année, la quasi totalité de son village était venu à la petite réception... qui n'est pas si petite par ailleurs.
Ce n'est pas tous les jours que l'on fête Halouine!
Une fête de cette ampleur ne se loupe sous aucun pretexte!
Et c'est d'ailleurs la raison pour laquelle il n'y avait qu'un seul habitant du village qui n'avait pu faire acte de présence.
Le vieux Tyldahr, si gâteux et si sénile qu'il était.
Le maire prononca son habituel discours, déclarant la fête ouverte et incitant les villageois à boire toute la bière qu'ils voulaient.
"Ca fait marcher le commerce", qu'il disait.
Une bonne heure passa. Certains villageois étaient îvres morts tandis que d'autres avaient encore l'air sobre.
Mais quand Spyre s'installa à la grande table, tous se turent instantanément.
Spyre avait prit l'habitude, chaque année à la sombre date, de conter des histoires.
C'était sa vocation, son travail et son passe temps.
Mais l'histoire que Spyre s'apprêtait à raconter était de celles que l'on ne connaissait que de nom.
Certains prétendront qu'elle a réellement eu lieu.
D'autres verront en elle un conte phylosophique.
Et la plupart se contenteront d'écouter sans réellement saisir le sens profond de la tragique histoire qui leur sera contée.
Le vieux barde s'éclaircit la voix et entama sa lecture.
Halouine est un jour maudit.
Certains en ont prit conscience à leurs dépends.
J'irai presque même jusqu'à regretter le tragique destin de ceux qui n'ont su prêter attention aux conseils des Sages.
Car quelle idée que de se promener dans un lieu maudit des dieux comme la Forêt des Abraknydes,
la nuit où règne un Mal trop pur pour que même les Brâkmariens les plus aguerris ne puissent espérer le dompter.
Ils étaient trois.
Trois jeunes recrues de la Cité Blanche, faibles et inexperimentés.
Ihne, Auh et Sent.
Les malheureux revenaient d'une fête arrosée, riche en chansons et musiques de tout genre.
Il faut préciser qu'alors que certains voient en Halouine une soirée où règne chaos, peur et Mal, d'autres en ont fait une fête, sans doute pour des raisons commerciales.
Et c'est ainsi que la Cité Blanche, Pourpre, Mercenaire et bien d'autres organisent des banquets et animations diverses et variées.
Les trois bontariens en question désiraient gagner Astrub la Cachée et profiter encore un peu de la compagnie de leurs belles femmes membres d'un clan de mercenaires quelconques. Et ce de préférence avant que ne sonne les 12 coups de minuits.
La bière avait fait son effet et les trois disciples d'Amayiro se perdirent dans la profonde Forêt des Abraknydes.
Ayant déjà consommés leurs maigres provisions et, ne trouvant rien pour assouvir leur faim, ils décidèrent de chasser le Bouftou.
Bien que la bête était fort rare en ces lieux, l'un des trois miliciens de la Blanche parvint, ô malheur, à dénicher un troupeau.
Ne pouvant se contenter d'en faire rôtir un ou deux, les imbéciles profanes décidèrent de tous les massacrer.
Un carnage sans nom.
Au moment où le dernier Bouftou fut exterminé dans la joie et la bonne humeur, et que l'une des recrues de la Cité Blanche allumait un feu, ce qui devait arriver arriva.
Le monde bascula.
La Lune sembla s'ouvrir pour deverser sur le Monde des Douze le Feu du Ciel.
Un cri terrifiant se fit entendre, comme sortit des entrailles de la Terre.
Le sol gronda.
Les adeptes de Bonta se regardèrent tandis que le sol se fendait sous leurs yeux, laissant entrevoir une masse plus bestiale qu'humaine.
Une aura sombre la dissimulait aux yeux de tous.
"Ru... Rushu? Seigneur Démon?"
Le rire s'intensifia et la créature tout droit sortie des plus profondes couches de la Pénombre se dressa devant les larves.
Le brouillard noir qui l'accompagnait se dispersa, éteignant toute source de Lumière dans ce monde de Ténèbres.
L'Ombre était partout.
Le rire démoniaque s'arrêta.
Une voie d'outre tombe se fit entendre. Elle semblait provenir de ce qui ressemblait le plus à la bouche de la créature.
"Vos âmes sont bien noires, adeptes de la Lumière. Tuer ainsi autant de Bouftous...
Vous avez rompu un pacte qui de loins vous dépasse. Vous allez devoir payer le sang versé."
"Q... qui es-tu, démon?"
"Un grand être banni à jamais des Terres d'Amakna."
"Et que fais-tu là, alors?"
"Oh, c'est grâce à vous et vos étourderies de vulgaires massacreurs de bouftous."
"C'est une bien belle façon que de nous remercier, Sir... Sir..."
"On m'appelle Halouine, mais vous trois pourrez dorénavant m'appeller Maître."
"Permet moi de te dire qu..."
Le monde perdit ses couleurs.
Ihne, Auh et Sent tombèrent aux pieds de celui qui se prétendait être Halouine.
Leur visage perdit soudain toute couleur.
Les trois misérables, aux pieds de la créature, semblaient avoir perdu la vie.
Mais il n'en était rien.
Ils avaient perdu quelque chose de bien plus important.
Car les corps inertes se relevèrent, leurs yeux aussi vide que leur visage était amorphe.
Morts sans âme qui continuent à vivre, tels des Vampyres, usant de l'energie vitale des autres pour prolonger leur presque-vie.
Et c'est ainsi que Ihne, Auh et Sent devinrent Crym, Hin et Helle.
Et c'est ainsi que naquirent les Trois Serviteurs d'Halouine.
Trois serviteurs maudits et craints de tous ceux qui n'ignorent pas leur existence.
Les versions de cette vieille légende sont aussi nombreuses que les étoiles dans le ciel, mais toutes s'accordent sur une chose irréfutable:
les trois Serviteurs d'Halouine ne peuvent fouler Terra Amakna qu'une fois tous les 12 mois.
Le jour d'Halouine.
En effet, le dernier jour du mois de Maimane, les trois cadavres maléfiques s'animent d'une vie qui n'est pas la leur pour mettre fin à la vie de leur cible.
Chaque année, à la même péride, Halouine lui même désigne une personne qui se doit de mourrir, et ses serviteurs se chargent du reste.
Mais ils ne se contentent pas de tuer la cible qui leur est donnée.
Une fois que l'âmes de la malheureuse "cible" a quitté son ancien corps,
les Serviteurs d'Halouine se l'approprient dans le but de semer terreur et désolation en Terra Amakna.
Un corps pour trois âmes maudites... heureusement que Crym, Hyn et Helle n'y restaient qu'un jour par année!
Et chaque cible qui leur a été assigné mourra.
Car telle est la vengance d'Halouine et nul n'y a jamais échappé.
Si ce n'est celui que les brâkmariens nomment Xelor Noir...
Halouine désirait par dessus tout que ses serviteurs se partagent un jour son corps. Mais le destin en avais décidé autrement.
Le Xelor Noir était parvenu à faire croire aux Serviteurs d'Halouine qu'il s'était jeté dans la lave de Brâkmar.
Mais c'est une toute autre histoire.
Et quand le premier jour de Novamaire se lève, les Serviteurs d'Halouine se voient dans l'obligation de quitter leurs corps "empruntés"
pour revenir dans la Forêt des Abraknydes et goûter à une partie de leur repos eternel.
Spyre leva les yeux de son vieux grimmoire.
Le public applaudissait.
Certains regardaient le vieux conteur avec l'admiration d'un enfant découvrant un nouveau sortilège.
D'autres discutaient entre eux, commentant la légende avec intérêt.
Tandis que d'autres encore se jettaient sur le buffet riche en nourriture.
Nul ne prêtait attention aux 3 Ombres enchapuchonnées qui glissaient doucement vers le vieux conteur.
Et la cible d'Halouine, une fois encore, s'écroula.
Troisième : Mysterium
Mes enfants, vous connaissez cette vielles légende du temps de votre arrière grand père? Non vous ne la conaissez pas, ouvrez grand vos oreilles et fermez portes et fenêtres...c'est la nuit d'Halouine...
La légende de l'Epouvantard
Trois PolterPious dans une Citwouille
C'est Halouine, la fête de l'horreur
On les écrase et le sang mouille
La cheville du terrible Croqueur
C'était il y a bien longtemps. Lors de ce terrible 31 Octoillard...lors du fameux Concours de la plus grosse Citwouille cultivée au purin de Porkass...
La fête battait son plein, le fameux cultivateur Halouine avait été réélu, les grosses Citwouilles qu’il avait cultivé était entassées sur l’estrade réservé aux gagnants. A côté, la Forêt des Abraknydes sous le clair de lune donnait froid dans le dos.
Un peu plus loin, un groupe d’enfant s’était éloigné traînant une mince silhouette à l’intérieur de la forêt. Le groupe avançait pas à pas dans la nuit noire au milieu des arbres grinçants et des milliers d’yeux qui les observaient.
- Arrêtez ce n’est plus drôle, je ne marche plus ! dit le maigrichon
- Tais-toi. Tu nous suis, tu vas avoir la nuit de ta vie ! s’esclaffa l’un
Ils le traînèrent jusqu'à un petit endroit ou se trouvait une ville cabane, a côté, un épouvantail pour éloigner les Corbacs.
- Déguisons-le ! dit un disciple de Feca joufflu
Les enfants faisaient preuve d’une cruauté digne de démons… Ils entraînaient le petit dernier de la famille Lédher-nier, ils ne l’aimaient tout simplement par car il était faible et toujours à l’écart. Après l’avoir fais enfiler les vêtements de l’épouvantail, ils le jetèrent à terre et se mirent à danser autour de lui en répétant en chœur leur affreuse comptine :
Trois PolterPious dans une Citwouille
C'est Halouine, la fête de l'horreur
On les écrase et le sang mouille
La cheville du terrible Croqueur
Quand ils eurent fini, ils lui donnèrent des coups et le battirent a mort. Quand les gémissements de la pauvre victime se turent, les enfants se rendirent compte du terrible acte qu’ils avaient commis. Après un moment de silence, ils firent disparaître le corps dans un faussé et jurèrent :
Que nos propos
Que notre acte
Que ce crime
Ne sorte jamais de ces lieux
Le serment fait, les quatre personnages revinrent à Amakna découvrant alors le spectacle : les habitants et villageois c’était transformé en Citwouille pour la plus part et Halouine avait été rejeté du concours. On n’entendit plus parler de cette histoire et les évènements passés furent enterrés dans la mémoire des habitants.
C’était un jour ou le soleil baignait Amakna d’une lumière douce, une lumière orangé, 10 ans plus tard, c’était la veille d’Halouine, les trois garçons qui 10 plus tard avait concluent le terrible pacte avaient bien grandit. Halouine reparaissait, chaque année, cette fête avait grignoté l’esprit de ces enfants devenu adulte…
Cette nuit, allait encore être un moment éprouvant…Mais s’ils savaient a combien cela pourrait l’être…la nuit tombait…
Hannorak, un des jeunes garçons sirotait un jus de Citwouille..
« Halouine… » Se répétait t-il sans cesse…
La vitre éclata, il se retourna brusquement sur sa chaise, que… Une citwouille a laquelle on avait taillé des yeux et une bouche souriait dans le noir au pied de Hannorak…Il leva la tête, derrière lui, une voix grinçante se mit a fredonner…
Malédiction de Citwouille
Tête de fripouille
Les cadavres prennent vie
C’est la nuit d’Halouine
La comptine connue d’Hannorak avait changé…comme si un gamin c’était amusé a la changer a sa façon…
La dernière chose que vit Hannorak faux, la scène devînt rouge, c’était fini…
Dans la nuit, la silhouette d’un épouvantail se dirigeait vers la prochaine maison, celle d’une autre personne qui réfléchissait intensément a ses actions passées…
Un cri déchira la nuit, et une étrange comptine s’éleva au dessus des maisons. Ainsi naquît la légende de l’Epouvantard.
FIN
Mes enfants, il est tard, je vous souhaite une bonne nuit, mais une chose, l'Epouvantard peut se cacher partout! Il est prêt a tout pour assouvir sa soif de sang...hum...Bonne nuit les enfants...
J’espère que ces nouvelles vous ont plu autant qu’à nous. Félicitation aux participants.
Cessons de parler et présentons les grands gagnants du concours et leurs nouvelles :
Premier : Mordust
Halouine et ses méfaits
La famille Domus vivait dans le sud de la ville d’Amakna, elle vivait principalement grâce à la chasse. La forêt des abraknydes était leur meilleure garantie de ne jamais rentrer les mains vides si on savait éviter les hordes d’abraknydes qui la peuplent. Des années auparavant, la mère avait succombé en mettant bas à une charmante petite fille du nom de Soha.
Le père la détestait et estimait très grandement son fils ainé, Bardius, qui pouvait l’épauler dans le maintient du foyer.
C’est ainsi que vivait cette humble famille, jusqu’au jour d’Halouine.
Jour qui porte le nom d’un homme qui aurait eu la folie de se laisser aller à la magie bwork afin de faire pousser ses citwouilles.
Mais cela n’est qu’une légende tout juste bonne à effrayer les enfants !
Toujours est il que c’est la veille de ce jour que le père disparu dans la forêt sans laisser de traces ni de nourriture pour sa progéniture…
Bardius parle peu mais agit vite quand il juge cela nécessaire, aussi décida t’il de partir à la recherche de son père. Il prit un arc, des flèches et une gourde puis s’élança dehors vers l’obscure forêt, suivit en cachette par sa petite sœur Soha, qui malgré son jeune âge était déjà bien vive d’esprit.
Sans doute désirait elle gagner l’amour de son père en aidant son frère et qui sait se faire pardonner du mal qu’elle avait fait sans le vouloir à sa mère ?
Le frère savait pister grâce à l’enseignement de son père mais ne connaissait pas la forêt des abraknydes comme son père. C’est alors qu’à force de regarder le sol à la recherche de traces, il finit par se perdre et du se résoudre à appeler son père à haute voix.
La nuit commençait à tomber et les abraknydes immobiles observaient sans bouger cet humain suivant les traces de son père. Sans doute vers une fin tout aussi terrible que ce dernier ! Soha, continuait de suivre sans bruits.
On entendit minuit sonner au loin, la cloche sonna tel un compte à rebours, 12 coups, le cœur de Bartius battait lui aussi sur ce rythme. La lune commença à disparaître derrière d’épais nuages…
Malgré son courage la peur l’envahissait comme si le drapé noir du ciel venait l’envelopper et l’étouffer.
Au dernier coup, la forêt regagna son silence mais une lumière rouge et incandescente se mit à briller avec éclat droit devant le frère.
« Père, c’est vous ?! » s’inquiéta Bartius.
Pour seule réponse, une seconde lumière s’alluma, puis des bruits de pas se finir entendre…
La silhouette de la créature commença à se dévoiler, il s’agissait d’un Meulou comme rongé par une maladie, sa tête était comme dévorée et possédée par une sorte de citwouille aux yeux incandescents.
Le Meulou demanda :
« -Vous êtes ici pour jouer au jeu d’Halouine ?
-Non, je suis venu chercher mon père !
-Pourtant lui a voulu jouer et si vous souhaitez le rejoindre il vous faudra accepter…
-J’accepte, menez moi à lui !
-Les règles sont simples, si je vous attrape, vous perdez, chose que je vous souhaite, je suis affamé… Ou alors…
-Ou Alors ?!
-Ben c’est tout en fait ! »
D’abord surprit, Bartius se reprit et tira rapidement deux flèches mais cela ne ralentit pas la marche du Meulou, il s’est donc enfuit aussi vite qu’il pu… Mais le Meulou affamé et envoûté par la malédiction d’Halouine le rattrapait inexorablement…
Sous les yeux horrifiés de Soha encore cachée, son frère fut englouti dans la large gueule pleine de crocs, la créature hurla en levant sa tête face au ciel et la lune repris de son éclat comme par enchantement.
Maintenant seule, Soha tremblait comme une feuille au vent, c’est avec peur et tristesse qu’elle décida de suivre l’abominable créature.
Mais elle était loin de se douter de ce que la créature lui réservait.
Le Meulou se savait déjà observé mais préférait lui réserver un tout autre sort…
La marche se poursuivit toujours plus profondément dans la forêt jusqu’à une bâtisse, elle reconnue la mythique maison d’Halouine, illuminée de plusieurs éclats étranges, diverses vapeurs s’en échappaient… Vapeurs enivrantes et assommantes qui ne tardèrent pas à faire tomber Soha dans un profond sommeil.
A son réveil, elle était dans la maison, quelqu’un l’avait transporté jusque là. Liée aux mains et aux pieds, elle ne pouvait pas bouger. C’est ainsi qu’elle vit son père entrer dans la pièce transportant le cadavre d’un vieil homme qui semblait avoir souffert de diverses expériences bworks malsaines…
Soha était sauvée, son père avait tué le psychopathe ayant donné naissance aux horreurs qui ont hanté toute son enfance et tué son frère. Elle ne savait comment exprimer sa joie ni comment annoncer la mort de Bratius. Partagée entre soulagement et douleur, elle resta donc silencieuse.
Mais quelque chose clochait, une vieille femme fit irruption dans la pièce, regarda la jeune fille et s’approcha d’elle en la regardant avec ses yeux globuleux et luisant. Soha cria, hurla, appela à l’aide et pour toute réponse reçu une claque de son père.
« -Petite sotte, tais toi !
-Mais père… ?
-Ahahah… Ton père n’est plus, je me faisais vieux et mourant, il me fallait un nouveau corps pour continuer à vivre, celui-ci fera parfaitement l’affaire, je me nomme Halouine ! »
Soha ne pu retenir ses larmes.
« -Bon à présent, c’est à mon tour, elle est certes un peu jeune mais je ne peux plus attendre !
-Bien sûr ma bien aimée, où avais-je la tête ! »
Soha s’évanouit…
Elle se réveilla beaucoup plus tard au village d’Amakna, il faisait jour, le soleil brillait et chauffait agréablement le village, les pious chantonnaient gaiement, elle avait mal partout et se sentait fiévreuse.
« Ce n’était qu’un cauchemar ! » s’écria Soha en se levant de son lit.
Mais en passant face au miroir de la maison, elle vit le reflet d’une vieille femme hideuse…
Second : Magnum-Urgal
Hum... non, non, il n'y a aucun retard, c'est votre montre!
Bon, disons que j'ai cru que la date limite était le 26 et que voila...
Mais je ne voulais pas que mon modeste travail soit detruit par une etourderie de ce genre, aussi j'ai eu le culot de vous l'envoyer avec 20 heures de retard en espérant que vous fermerez un oeil là dessus, lecteurs dont j'ignore les noms.
Minuit sonna.
Les portes de la Grande Salle s'ouvrirent tandis que le maire de notre petit village d'Helsenva souhaitait la bienvenue à ceux qui étaient venus.
Cette année, la quasi totalité de son village était venu à la petite réception... qui n'est pas si petite par ailleurs.
Ce n'est pas tous les jours que l'on fête Halouine!
Une fête de cette ampleur ne se loupe sous aucun pretexte!
Et c'est d'ailleurs la raison pour laquelle il n'y avait qu'un seul habitant du village qui n'avait pu faire acte de présence.
Le vieux Tyldahr, si gâteux et si sénile qu'il était.
Le maire prononca son habituel discours, déclarant la fête ouverte et incitant les villageois à boire toute la bière qu'ils voulaient.
"Ca fait marcher le commerce", qu'il disait.
Une bonne heure passa. Certains villageois étaient îvres morts tandis que d'autres avaient encore l'air sobre.
Mais quand Spyre s'installa à la grande table, tous se turent instantanément.
Spyre avait prit l'habitude, chaque année à la sombre date, de conter des histoires.
C'était sa vocation, son travail et son passe temps.
Mais l'histoire que Spyre s'apprêtait à raconter était de celles que l'on ne connaissait que de nom.
Certains prétendront qu'elle a réellement eu lieu.
D'autres verront en elle un conte phylosophique.
Et la plupart se contenteront d'écouter sans réellement saisir le sens profond de la tragique histoire qui leur sera contée.
Le vieux barde s'éclaircit la voix et entama sa lecture.
Halouine est un jour maudit.
Certains en ont prit conscience à leurs dépends.
J'irai presque même jusqu'à regretter le tragique destin de ceux qui n'ont su prêter attention aux conseils des Sages.
Car quelle idée que de se promener dans un lieu maudit des dieux comme la Forêt des Abraknydes,
la nuit où règne un Mal trop pur pour que même les Brâkmariens les plus aguerris ne puissent espérer le dompter.
Ils étaient trois.
Trois jeunes recrues de la Cité Blanche, faibles et inexperimentés.
Ihne, Auh et Sent.
Les malheureux revenaient d'une fête arrosée, riche en chansons et musiques de tout genre.
Il faut préciser qu'alors que certains voient en Halouine une soirée où règne chaos, peur et Mal, d'autres en ont fait une fête, sans doute pour des raisons commerciales.
Et c'est ainsi que la Cité Blanche, Pourpre, Mercenaire et bien d'autres organisent des banquets et animations diverses et variées.
Les trois bontariens en question désiraient gagner Astrub la Cachée et profiter encore un peu de la compagnie de leurs belles femmes membres d'un clan de mercenaires quelconques. Et ce de préférence avant que ne sonne les 12 coups de minuits.
La bière avait fait son effet et les trois disciples d'Amayiro se perdirent dans la profonde Forêt des Abraknydes.
Ayant déjà consommés leurs maigres provisions et, ne trouvant rien pour assouvir leur faim, ils décidèrent de chasser le Bouftou.
Bien que la bête était fort rare en ces lieux, l'un des trois miliciens de la Blanche parvint, ô malheur, à dénicher un troupeau.
Ne pouvant se contenter d'en faire rôtir un ou deux, les imbéciles profanes décidèrent de tous les massacrer.
Un carnage sans nom.
Au moment où le dernier Bouftou fut exterminé dans la joie et la bonne humeur, et que l'une des recrues de la Cité Blanche allumait un feu, ce qui devait arriver arriva.
Le monde bascula.
La Lune sembla s'ouvrir pour deverser sur le Monde des Douze le Feu du Ciel.
Un cri terrifiant se fit entendre, comme sortit des entrailles de la Terre.
Le sol gronda.
Les adeptes de Bonta se regardèrent tandis que le sol se fendait sous leurs yeux, laissant entrevoir une masse plus bestiale qu'humaine.
Une aura sombre la dissimulait aux yeux de tous.
"Ru... Rushu? Seigneur Démon?"
Le rire s'intensifia et la créature tout droit sortie des plus profondes couches de la Pénombre se dressa devant les larves.
Le brouillard noir qui l'accompagnait se dispersa, éteignant toute source de Lumière dans ce monde de Ténèbres.
L'Ombre était partout.
Le rire démoniaque s'arrêta.
Une voie d'outre tombe se fit entendre. Elle semblait provenir de ce qui ressemblait le plus à la bouche de la créature.
"Vos âmes sont bien noires, adeptes de la Lumière. Tuer ainsi autant de Bouftous...
Vous avez rompu un pacte qui de loins vous dépasse. Vous allez devoir payer le sang versé."
"Q... qui es-tu, démon?"
"Un grand être banni à jamais des Terres d'Amakna."
"Et que fais-tu là, alors?"
"Oh, c'est grâce à vous et vos étourderies de vulgaires massacreurs de bouftous."
"C'est une bien belle façon que de nous remercier, Sir... Sir..."
"On m'appelle Halouine, mais vous trois pourrez dorénavant m'appeller Maître."
"Permet moi de te dire qu..."
Le monde perdit ses couleurs.
Ihne, Auh et Sent tombèrent aux pieds de celui qui se prétendait être Halouine.
Leur visage perdit soudain toute couleur.
Les trois misérables, aux pieds de la créature, semblaient avoir perdu la vie.
Mais il n'en était rien.
Ils avaient perdu quelque chose de bien plus important.
Car les corps inertes se relevèrent, leurs yeux aussi vide que leur visage était amorphe.
Morts sans âme qui continuent à vivre, tels des Vampyres, usant de l'energie vitale des autres pour prolonger leur presque-vie.
Et c'est ainsi que Ihne, Auh et Sent devinrent Crym, Hin et Helle.
Et c'est ainsi que naquirent les Trois Serviteurs d'Halouine.
Trois serviteurs maudits et craints de tous ceux qui n'ignorent pas leur existence.
Les versions de cette vieille légende sont aussi nombreuses que les étoiles dans le ciel, mais toutes s'accordent sur une chose irréfutable:
les trois Serviteurs d'Halouine ne peuvent fouler Terra Amakna qu'une fois tous les 12 mois.
Le jour d'Halouine.
En effet, le dernier jour du mois de Maimane, les trois cadavres maléfiques s'animent d'une vie qui n'est pas la leur pour mettre fin à la vie de leur cible.
Chaque année, à la même péride, Halouine lui même désigne une personne qui se doit de mourrir, et ses serviteurs se chargent du reste.
Mais ils ne se contentent pas de tuer la cible qui leur est donnée.
Une fois que l'âmes de la malheureuse "cible" a quitté son ancien corps,
les Serviteurs d'Halouine se l'approprient dans le but de semer terreur et désolation en Terra Amakna.
Un corps pour trois âmes maudites... heureusement que Crym, Hyn et Helle n'y restaient qu'un jour par année!
Et chaque cible qui leur a été assigné mourra.
Car telle est la vengance d'Halouine et nul n'y a jamais échappé.
Si ce n'est celui que les brâkmariens nomment Xelor Noir...
Halouine désirait par dessus tout que ses serviteurs se partagent un jour son corps. Mais le destin en avais décidé autrement.
Le Xelor Noir était parvenu à faire croire aux Serviteurs d'Halouine qu'il s'était jeté dans la lave de Brâkmar.
Mais c'est une toute autre histoire.
Et quand le premier jour de Novamaire se lève, les Serviteurs d'Halouine se voient dans l'obligation de quitter leurs corps "empruntés"
pour revenir dans la Forêt des Abraknydes et goûter à une partie de leur repos eternel.
Spyre leva les yeux de son vieux grimmoire.
Le public applaudissait.
Certains regardaient le vieux conteur avec l'admiration d'un enfant découvrant un nouveau sortilège.
D'autres discutaient entre eux, commentant la légende avec intérêt.
Tandis que d'autres encore se jettaient sur le buffet riche en nourriture.
Nul ne prêtait attention aux 3 Ombres enchapuchonnées qui glissaient doucement vers le vieux conteur.
Et la cible d'Halouine, une fois encore, s'écroula.
Troisième : Mysterium
Mes enfants, vous connaissez cette vielles légende du temps de votre arrière grand père? Non vous ne la conaissez pas, ouvrez grand vos oreilles et fermez portes et fenêtres...c'est la nuit d'Halouine...
La légende de l'Epouvantard
Trois PolterPious dans une Citwouille
C'est Halouine, la fête de l'horreur
On les écrase et le sang mouille
La cheville du terrible Croqueur
C'était il y a bien longtemps. Lors de ce terrible 31 Octoillard...lors du fameux Concours de la plus grosse Citwouille cultivée au purin de Porkass...
La fête battait son plein, le fameux cultivateur Halouine avait été réélu, les grosses Citwouilles qu’il avait cultivé était entassées sur l’estrade réservé aux gagnants. A côté, la Forêt des Abraknydes sous le clair de lune donnait froid dans le dos.
Un peu plus loin, un groupe d’enfant s’était éloigné traînant une mince silhouette à l’intérieur de la forêt. Le groupe avançait pas à pas dans la nuit noire au milieu des arbres grinçants et des milliers d’yeux qui les observaient.
- Arrêtez ce n’est plus drôle, je ne marche plus ! dit le maigrichon
- Tais-toi. Tu nous suis, tu vas avoir la nuit de ta vie ! s’esclaffa l’un
Ils le traînèrent jusqu'à un petit endroit ou se trouvait une ville cabane, a côté, un épouvantail pour éloigner les Corbacs.
- Déguisons-le ! dit un disciple de Feca joufflu
Les enfants faisaient preuve d’une cruauté digne de démons… Ils entraînaient le petit dernier de la famille Lédher-nier, ils ne l’aimaient tout simplement par car il était faible et toujours à l’écart. Après l’avoir fais enfiler les vêtements de l’épouvantail, ils le jetèrent à terre et se mirent à danser autour de lui en répétant en chœur leur affreuse comptine :
Trois PolterPious dans une Citwouille
C'est Halouine, la fête de l'horreur
On les écrase et le sang mouille
La cheville du terrible Croqueur
Quand ils eurent fini, ils lui donnèrent des coups et le battirent a mort. Quand les gémissements de la pauvre victime se turent, les enfants se rendirent compte du terrible acte qu’ils avaient commis. Après un moment de silence, ils firent disparaître le corps dans un faussé et jurèrent :
Que nos propos
Que notre acte
Que ce crime
Ne sorte jamais de ces lieux
Le serment fait, les quatre personnages revinrent à Amakna découvrant alors le spectacle : les habitants et villageois c’était transformé en Citwouille pour la plus part et Halouine avait été rejeté du concours. On n’entendit plus parler de cette histoire et les évènements passés furent enterrés dans la mémoire des habitants.
C’était un jour ou le soleil baignait Amakna d’une lumière douce, une lumière orangé, 10 ans plus tard, c’était la veille d’Halouine, les trois garçons qui 10 plus tard avait concluent le terrible pacte avaient bien grandit. Halouine reparaissait, chaque année, cette fête avait grignoté l’esprit de ces enfants devenu adulte…
Cette nuit, allait encore être un moment éprouvant…Mais s’ils savaient a combien cela pourrait l’être…la nuit tombait…
Hannorak, un des jeunes garçons sirotait un jus de Citwouille..
« Halouine… » Se répétait t-il sans cesse…
La vitre éclata, il se retourna brusquement sur sa chaise, que… Une citwouille a laquelle on avait taillé des yeux et une bouche souriait dans le noir au pied de Hannorak…Il leva la tête, derrière lui, une voix grinçante se mit a fredonner…
Malédiction de Citwouille
Tête de fripouille
Les cadavres prennent vie
C’est la nuit d’Halouine
La comptine connue d’Hannorak avait changé…comme si un gamin c’était amusé a la changer a sa façon…
La dernière chose que vit Hannorak faux, la scène devînt rouge, c’était fini…
Dans la nuit, la silhouette d’un épouvantail se dirigeait vers la prochaine maison, celle d’une autre personne qui réfléchissait intensément a ses actions passées…
Un cri déchira la nuit, et une étrange comptine s’éleva au dessus des maisons. Ainsi naquît la légende de l’Epouvantard.
FIN
Mes enfants, il est tard, je vous souhaite une bonne nuit, mais une chose, l'Epouvantard peut se cacher partout! Il est prêt a tout pour assouvir sa soif de sang...hum...Bonne nuit les enfants...
J’espère que ces nouvelles vous ont plu autant qu’à nous. Félicitation aux participants.