La rentrée des classes
Article de Mara-anni, bannière de Balbos
Depuis le 3 Septange, le pont de Pandala et les portes des villes de Bonta et Brakmar sont bondées d’aventuriers et de dragodindes.
Ce trafic important est dû à la rentrée des classes de nos chers marmots. Et oui, chaque année c’est la même chose, après deux mois de vacances pour nos enfants, la reprise de l’école, rend nos recherches plus facile. Nous savons enfin où les mettre pendant la journée, et nous savons aussi qu’ils feront moins d’âneries chez nous.
Cette année, une crèche pour les plus petits a été ouverte dans Bonta, ce qui augmente le nombre de personnes voulant entrer dans cette ville. Même les brâkmariennes souhaitent mettre leur plus petits dans ce nouvel établissement. Celui-ci est bien plus réputé et bien plus éclairé que les maisons de Brâkmar où les nourrices résident. Ce qui est important pour des nouveaux nées. Tout ceci augmente donc le nombre d’aventuriers souhaitant entrer dans la ville blanche.
L’infiltration de Bonta par les Brâkmarien est beaucoup plus facile avec ce monde, il suffit de cacher ses ailes et son visage aux aventuriers et de se cacher dans la cohue pour ne pas être visible des gardes. Les brâkmariennes ont tout de même plus de facilité puisque c’est pour leurs enfants qu’elles le font, elles n’ont donc pas autant de remord à déplier leurs ailes. Elles peuvent même, après avoir déposé leurs marmots à l’école ou à la crèche, faire les boutiques de Bonta puisque la cohue ne se disperse pas encore. Et si les choses tournent mal, elles ont toujours une petite potion à portée de main.
Une nouvelle classe spécialisée a également été ouverte cette année dans la grande école, cette classe est adaptée au niveau des disciples de Iop, ils apprennent la base de l’enseignement grâce à ce qu’ils aiment tant : le combat des Bouftons auquel on peut associer facilement, par exemple, l’apprentissage des chiffres. Si le bilan à la fin de l’année est concluant, cette classe sera définitivement ouverte.
Comme chaque année, l’école de Pandala propose des sorties nature pour leurs élèves. Malheureusement, chacune de ces sorties finit à la taverne. On comprend donc pourquoi cette école possède une majorité de Pandawas. Malgré cela, quelques élèves font exception à la règle, sans doute parce que les parents sont des disciples de Iop.
Un sujet qui en fâche plus d’un : les achats scolaires. Et oui, les instituteurs demandent de plus en plus de matériels chaque année pour vos enfants (règles, équerres, compas, crayon, arme, chopine, etc.….). On se demande vraiment à quoi tous ces objets peuvent servir à nos enfants. A notre époque, un tableau noir, une craie et une arme suffisait amplement à nos études complètes. Les temps changent…. Pendant que les enfants se munissent de ces objets, les instituteurs Osadomas se fournissent en fouet pour faire obéir leurs élèves.
Pendant ce temps, dans Amakna, une autre rentrée se déroule. Les Bworks reprennent le chemin de l’école eux aussi. Ecole un peu particulière, en effet, pas de cours de maths, d’Amaknéen, de géographie Bontarienne ou d’Histoire Brakmarienne, non non.
Au programme, baston, concours de baffes, stratégie bworkéenne (NDLR : stratégie consistant à foncer dans le tas tête baissée quelque soit la situation), et, pour les plus talentueux, invocations de tofus maléfiques…
Quand on vous disait que c’était une rentrée particulière.
Ce trafic important est dû à la rentrée des classes de nos chers marmots. Et oui, chaque année c’est la même chose, après deux mois de vacances pour nos enfants, la reprise de l’école, rend nos recherches plus facile. Nous savons enfin où les mettre pendant la journée, et nous savons aussi qu’ils feront moins d’âneries chez nous.
Cette année, une crèche pour les plus petits a été ouverte dans Bonta, ce qui augmente le nombre de personnes voulant entrer dans cette ville. Même les brâkmariennes souhaitent mettre leur plus petits dans ce nouvel établissement. Celui-ci est bien plus réputé et bien plus éclairé que les maisons de Brâkmar où les nourrices résident. Ce qui est important pour des nouveaux nées. Tout ceci augmente donc le nombre d’aventuriers souhaitant entrer dans la ville blanche.
L’infiltration de Bonta par les Brâkmarien est beaucoup plus facile avec ce monde, il suffit de cacher ses ailes et son visage aux aventuriers et de se cacher dans la cohue pour ne pas être visible des gardes. Les brâkmariennes ont tout de même plus de facilité puisque c’est pour leurs enfants qu’elles le font, elles n’ont donc pas autant de remord à déplier leurs ailes. Elles peuvent même, après avoir déposé leurs marmots à l’école ou à la crèche, faire les boutiques de Bonta puisque la cohue ne se disperse pas encore. Et si les choses tournent mal, elles ont toujours une petite potion à portée de main.
Une nouvelle classe spécialisée a également été ouverte cette année dans la grande école, cette classe est adaptée au niveau des disciples de Iop, ils apprennent la base de l’enseignement grâce à ce qu’ils aiment tant : le combat des Bouftons auquel on peut associer facilement, par exemple, l’apprentissage des chiffres. Si le bilan à la fin de l’année est concluant, cette classe sera définitivement ouverte.
Comme chaque année, l’école de Pandala propose des sorties nature pour leurs élèves. Malheureusement, chacune de ces sorties finit à la taverne. On comprend donc pourquoi cette école possède une majorité de Pandawas. Malgré cela, quelques élèves font exception à la règle, sans doute parce que les parents sont des disciples de Iop.
Un sujet qui en fâche plus d’un : les achats scolaires. Et oui, les instituteurs demandent de plus en plus de matériels chaque année pour vos enfants (règles, équerres, compas, crayon, arme, chopine, etc.….). On se demande vraiment à quoi tous ces objets peuvent servir à nos enfants. A notre époque, un tableau noir, une craie et une arme suffisait amplement à nos études complètes. Les temps changent…. Pendant que les enfants se munissent de ces objets, les instituteurs Osadomas se fournissent en fouet pour faire obéir leurs élèves.
Pendant ce temps, dans Amakna, une autre rentrée se déroule. Les Bworks reprennent le chemin de l’école eux aussi. Ecole un peu particulière, en effet, pas de cours de maths, d’Amaknéen, de géographie Bontarienne ou d’Histoire Brakmarienne, non non.
Au programme, baston, concours de baffes, stratégie bworkéenne (NDLR : stratégie consistant à foncer dans le tas tête baissée quelque soit la situation), et, pour les plus talentueux, invocations de tofus maléfiques…
Quand on vous disait que c’était une rentrée particulière.